Suite de Les mots pour le dire que j’ai lu il y a probablement un vingtaine d’années, son complément dans ce que le auteurs, Marie Cardinal et Annie Leclerc, refusent d’appeler un livre, me rappelle toutes les émotions vécues dans la lecture du premier opus.
Écrit au milieu des années 70, le discours féministe peut s’y trouver un peu dépassé pour ceux (rarement celles…) qui estiment que le combat est derrière eux, mais encore devant elles…
Fraicheur, sensibilité, langage cru parfois, la simplicité de la lecture encouragera la relecture de Les mots pour le dire. Vive la liberté ! Je vais m’y engager prochainement…